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Inspirés par les toits de la résidence Koumaria, les spirales et les cercles sont devenus des motifs pour la composition d'une partition de mouvements. Évoluant autour d'un noyau, les interprètes sculptent progressivement l'espace en s'éloignant du point central.

 

Des sons ont été échantillonnés tout au long de la période de résidence pour composer un environnement musical. Deux performeurs portent des télécommandes attachées à leurs poignets. L'interaction entre eux et l'espace est traduite en sons et en images. Les systèmes physiques et numériques communiquent et se nourrissent mutuellement, matérialisant une conversation.

 

Au fur et à mesure que cet environnement se déploie, la position des télécommandes dans l'espace est recyclée en sons. Les visuels matérialisent le mouvement en temps réel en particules de lumière, en utilisant les corps des interprètes comme interface de projection.

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